Pour pratiquer la philosophie, il faut peut-être conserver une part d'enfance en soi : savoir que l'on est faillible, que nos forces sont limitées, que l'on a besoin de l'aide des autres et de leur éclairage, mais savoir aussi jouer avec la réalité, espérer et s'étonner, se laisser surprendre par ce qui arrive et ce qu'on est parfois capable de faire. C'est pourquoi il est important que la philosophie, dans la mesure du possible, "garde intact notre sentiment d'émerveillement". La capacité à s'étonner est d'ailleurs la première qualité philosophique pour Aristote.
Et Nicolas Sarkozy porte en lui les gènes d'un philosophe car il sait s'entourer de gens compétents là où il a des failles, il affronte la réalité avec discernement, il espère un monde meilleur.
Mais aussi et surtout il sait s'emerveiller devant une foule venant l'acclamer, parce qu'il s'etonne encore de voir s'agrandir son parti politique.
Et déjà en son temps Marc Aurèle disait : "Chacun vaut ce que valent les objectifs de son effort"
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