Le canard enchaîné révèle des histoires cocasses qui font vendre, car il a bien compris que tous les journaux qui parlent de Nicolas se vendent bien.
Alors voilà un scoop de première qui a dû faire le régal des rédacteurs sans âme et sans vergogne qui ont pu se faire de la publicité et qui ont fait gagner de l'argent au journal sur la crédulité des pauvres gens.
Le pouvoir qu'à la presse est ici bien mal utilisé, il se taille une part du gâteau sans effort en imaginant quelques magouilles pour faire des profits.
Car en effet je ne vois pas l'intérêt de Nicolas Sarkozy de tromper son électorat en évoquant une démocratie irréprochable s'il permet à Jacques Chirac de ne pas répondre de ses actes malhonnêtes.
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