Dans ma vérité je rejoins ce que Nicolas dit :
" Je ne résous pas à laisser à nos enfants un monde où l'avenir à cessé d'être une promesse pour devenir une menace. Je me refuse à considérer le déclin de la France comme inéluctable."
Puis il continue en disant : " Je sais maintenant qu'on ne joue pas avec le destin d'un peuple, l'exercice du pouvoir m'a ouvert à une partie de l'humanité que je ne connaissais pas".
Pour terminer ce chapitre il déduit : " Mais au-delà de la droite et de la gauche, il y a la république qui est le bien de tous".
Bon blog!
Un petit brulot détendant que les amis Sarkozyste se sont appropriés comme hymne...
http://www.byebyechirac2007.com/article-5881509.html
Rédigé par : Guilhem | 07 avril 2007 à 22:36