Premier congrès,premier métro, première place de choix à l'espace invité. Bravo. Cela prouve que Nicolas se donne les moyens de nous rassembler, il est un leader.
Au milieu de 100.000 personnes, je me sens comme un poisson dans l'eau, j'abandonne le groupe, je téléphone, je trouve ma place. Enfin les choses sérieuses commence.
L'organisation est sans reproche et tout le monde est déjà là pour assister au congrès où de nombreuses personnalités vont parler avant Nicolas.
J'ai retenu du discours de Mr Fillion :
Nicolas n'appartient à personne et ne doit rien à personne, il dit ce qu'il pense et pense ce qu'il dit.
J'ai retenu de MAM :
Je me rattache à Nicolas pour soutenir la force gaulliste dans le monde moderne.
J'ai retenu de Raffarin :
Qui sème la division, récolte le socialisme
J'ai retenu de Juppé :
Un nouveau souffle est nécessaire, je suis dans la continuité de ma famille politique.
Puis la foule crie Sarko président, les chiffres sont là, 229.000 votants environ soit près de 69 % de participation. Mieux que Ségolène.
Mon voisin parle de discours archaïques puis devant les applaudissements et le passage de Sarko, il pris des notes et me dit : Beau discours. En effet.
Nicolas commence par remercier les hommes politiques qui l'ont aidé à gravir les échelles, puis il dira et beaucoup le retiendront : j'ai changé.
Il fera référence à des grands personnages comme son maître Georges MANDEL, mais aussi ZOLA, HUGO, CLEMANCEAU, VEIL, Abbé Pierre etc..
Puis vient un message d'espoir : la France ne veut pas, ne doit pas et ne peut pas mourir.
Où se sont envolées les belles phrases de Jaurès et de Blum.
Il est émouvant quand il parle de sa France.
Ensuite il reparle de son programme politique avec conviction et la foule en délire applaudie vraiment chaleureusement.
Nicolas se déchire, il est serein et convaincu, il y a une force naturelle qui le porte, il est superbe.
Enfin il finit par : un doute s'est installé, c'est le mal qu'il faut guérir.
Et en se tournant vers les siens il leur dit : Ma famille, mes amis...laissez moi faire mon devoir.
Chirac ne peut pas, ne doit pas et j'espère ne veut pas mettre des bâtons dans les roues de Nicolas.
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