Le faible taux de croissance de ce dernier trimestre laisse à penser qu'une raison importante a démotiver les acteurs de la croissance, et si c'était le non au crédit d'impôt promis sur les intérêts d'emprunts.
Cette mesure phare du programme de Nicolas pendant la campagne présidentielle n'aurait pas dû passer aux travers de lois réglementant des possibilités d'allègement des impôts comme cela était le cas quelques temps auparavant.
La croissance est fragile et se base sur un esprit de confiance qui ne doit pas être trahi. Nicolas a compris tout ça, alors vous qu'on appelle grands sages parlez le même language pour enfin sortir la france de l'immobilisme et de l'anti-nationalisme
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