Un jour j'en ai eu marre d'être un pion qui devait penser comme son employeur mais aujourd'hui j'ai l'impression d'être en Russie et non pas en France.
On ne défend pas Nicolas Sarkozy dans la fonction hospitalière et le poste que j'ai ne correspond pas à mes compétences, je suis au placard...
Pourtant moi j'accepte de discuter de mes opinions mais je n'accepte pas que l'on veuille que je renie mes idées politiques. La gauche est amère.
On m'a dit que je n'aurais pas mon poste pour encore bien longtemps, que mon blog était à gerber et que j'étais manipulée par les médias.
Puis naïve, salope qui va se faire enculer, j'encaisse et je réponds : J'ai peur de me faire cambrioler pour la quatrième fois, j'ai peur pour l'avenir des jeunes prétestant que les avantages sociaux sont un dû sans contrepartie, je refuse la discrimination sur le lieu de mon travail, je veux gagner plus en travaillant plus, je veux une démocratie irréprochable, une solidarité plus juste et mieux répartie....
Beaucoup de français, ainsi que d'ardéchois se sont reconnus dans les idées de Nicolas qui à mon avis nous a sauvé d'une révolution. Je suis consciente que j'aurais toujours des réfractaires devant moi pour essayer de me faire changer d'avis, mais moi je leur dis : donnez-lui sa chance avant de le condamner et soyez justes.
Je voudrais retrouver la France belle et prospère. Non le général De gaulle n'était pas un dictateur pas plus que Nicolas à qui je donnerais toujours mon avis qui n'est pas toujours le même, mais les grandes lignes se ressemblent. J'ai la même volonté, le même courage et l'envie de faire bouger les choses dans mon pays, de le réformer. Tiens bon Nicolas la tâche est rude......